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Nom :Mark Anthony Myrie
Né le : 15 juillet 1973

"Buju", appelé ainsi suite à son apparence potelée, né dehors à Kingston, le plus jeune de quinze enfants, Buju est un descendant direct des Maroons. Banton vient d'un de ses artistes Jamaïquains favoris, Burro Banton. Il a grandit dans Barbican, l'époque où il souhaitait devenir DJ. Ses rêves commençaient rapidement à prendre forme en 1985 quand il commençait à faire des "specials" pour des sounds systems locaux, cependant sa première grande ouverture est survenue en 1986 quand il enregistrait son premier single " The Ruler " avec le producteur Robert French qui ne sortira qu'au Canada. Son second single " I Got to Leave You " s'en suivi. Il enregistre avec Winston Riley " Stamina Daddy ". Mais sa carrière ne débutera que lorsqu'il rencontrera Dave Kelly avec qui il enregistre deux morceaux "Man fi Dead" et " smell " Son premier coup majeur " Browning " a été enregistré en 1991 et s'est placé au sommet du tableau reggae aux Caraïbes, U.S.A., Japon, et Canada. Avec la réussite de ce single, controverse croissait aussi du fait que la chanson complimentait des femmes métisse . Cela lui causera des problèmes avec d'autres DJ mais aussi avec les femmes. Buju rectifiait ce problème avec son prochain single "Love Black Woman".

 

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Ensuite, une succession de hits s'enchaîne, il est le DJ de l'année 1992 en Jamaïque. La même année il signe avec le manager de Shabba Ranks, Clifton Dillon. Mais un single va lui coller une étiquette sur le dos avec son morceau " Boom Bye Bye " avec des textes contre l'homosexualité mais cela ne l'empêchera pas d'en faire un gros hit dans les charts reggae un peu partout dans le monde. Depuis ces textes s'orientent vers des thèmes " roots & reality ", devenant un des artistes retranscrivant le plus fidèlement possible les souffrances des laissés pour compte du système. Mais il n'oublie d'honorer sa présence régulière sur le marché du single yardie, par la sortie de titres hardcore destinés au public le plus exigeant, celui de son île natale. Il monte son propre studio Cell Block 321 en s'associant avec Syl Gordon de courte durée, à la suite il créera son label Gargamel.

Un départ puissant en 1993 symbole de la VOICE OF JAMAIQUE. Buju établit des nouveaux horizons musicaux en combinant l'esprit de Bob Marley avec l'âme du dancehall. A travers 93 et 94 Buju grimpait en popularité. Il visitait beaucoup de villes majeures en Europe, Asie et Amérique, en rajoutant cinq récompenses internationales de musique à sa collection rapidement croissante.

En juin 1994, Buju et Penthouse Records lançaient "OPERATION WILLY" un des projets les plus ambitieux en Jamaïque, pour aider les enfants qui sont concernés par le virus HIV ou AIDES. Recrutant l'aide de beaucoup de monde de la profession médicale, les efforts de la fondation sont portés sur la prévention par l'instruction. Procédé totalisant $50,000 toutes les ventes du single, " Willy Don't Be Silly," ont été données à la fondation. En parallèle Buju continu à travailler dans son studio personnel Cellblock 3-2-1 à Kingston.

 

Avec son disque Til Shiloh en 1995, Buju se souvient de ses débuts "Lisa Cortes a signé avec moi sur Mercury. Elle comprenait où je voulais puiser ma musique ". Sur ses deux dernières années, Buju a porté sur la croissance artistique par faire des tournées, réaliser et produisant pour lui-même et d'autres artistes tout en explorant l'essence Rasta de laquelle il puise sa direction musicale et spirituelle de ce disque.

 

Avec ses treize titres qui varient de thèmes d'amour sur l'instruction et l'inspiration, toujours concerné par la jeunesse jamaïquaine et les croyances religieuses, 'TIL SHILOH est partie de l'évolution d'un artiste remarquable qui continue à établir les normes d'excellence dans le reggae contemporain. Passant par le rétro reggae de " Hush Baby Hush " au joyeux " Wanna Be Loved " à l'introspectif " Til I'm Laid To Rest,". Travaillant le solo ou avec d'autres artistes (le légendaires Marcia Griffiths chante en arrière-plan sur " Hush Baby Hush " et " Wanna Be Loved,", le chanteur de reggae Wayne Wonder est offerte sur " What Ya Gonna Do," et Garnett Silk paraît sur " Complaint "), les prouesses musicales croissantes de Buju Banton sont une évidente Dans un genre où la longévité d'un artiste est rare. Après avoir appris les meurtres brutaux de Panhead et Dirtsman, deux amis d'enfance et musiciens prometteurs, Buju écrivait aussitôt la chanson " Murderer " un puissant commentaire social que décries la violence insensée de la vie de beaucoup de jeunes jamaïquaine, texte qui, selon le magazine Billboard, "renversait le courant du dancehall" de "paroles à propos de la représentation de la sexualité, de la violence, et des gangs " aux thèmes de Rastafarian spiritualité et le respect de soi et des autres.

Albums:
1. Mr Mention.. 2.Voice of Jamaica.. 3.Til Shiloh.. 4.(soon to be released)
Title Label Marathon(.AU)
Gargamel Love Sponge(.AU)
Gargamel Loving is a ting(.AU) ....(Real Audio) Shocking Vibes

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